Here's a poem that I wrote for a french class last year, I just dug it out from the depths of my computer. It's funny how I wrote it, and yet it makes me cry every time I reach the end...I have a tendancy to get right to the point, while never actually touching it, I guess.
Enjoy...if you can read french, that is.
Enjoy...if you can read french, that is.
~
Le ciel etais gris, et il devenait noir toujours. Mon tête etait malade, j’etais trop sommeil a penser.
Ainsi, je suis sorti, pour faire une promenade.
Quand je faisais mon promenade, j’ai ecoute et j’ai vue beaucoup d’histoires de vie:
Ainsi, je suis sorti, pour faire une promenade.
Quand je faisais mon promenade, j’ai ecoute et j’ai vue beaucoup d’histoires de vie:
Dans le parc, un bebe a mange avec sa mere- qui est-ce?
Deux jeunes ados courait avec leur chien- ils riaient sans connaitre le monde.
Le temps a passé sans moi. Hier, j’ai travaille. Je travaille toujours. Je n’ai jamais eu le temps de penser.
Je voudrais a penser encore.
Le ciel etais gris.
Un homme- c’est a dire, un viel homme- il marchais avec moi, dans le silence. Je pensais qu’il avait l’air gentil.
Dans la rue, il y avait beaucoup de personnes qui etaient au chomage. Une femme qui desirait juste pour un oreiller.
Il y avait tout le bonheur.
Les jeunes maries achetaient assurance, et s’embrassaient.
Un chat dormait dans une fenetre, quand un oiseaux a passé.
Derriere chaque fenetre, une famille vivait dans leur propre monde.
Quelque chose sentait bon, mais je n’ai pas fait attention. J’ai continue a marcher.
Sur la plage, j’etais seul. Je suis toujours seul a la plage. J’ai ecoute la mer. J’ai regarde. J’ai regarde pour long temps.
Sudain, un pere et ses enfants sont apparus. Ils etaient tres jeunes. Ils ont ri et a joue dans la mer. Et puis, ils sont partis, comme le ciel est devenu noir.
Et puis, avec une sourire, j’ai pleure.
Ma vie avait passé. Le ciel devenait noir.
-MTDeux jeunes ados courait avec leur chien- ils riaient sans connaitre le monde.
Le temps a passé sans moi. Hier, j’ai travaille. Je travaille toujours. Je n’ai jamais eu le temps de penser.
Je voudrais a penser encore.
Le ciel etais gris.
Un homme- c’est a dire, un viel homme- il marchais avec moi, dans le silence. Je pensais qu’il avait l’air gentil.
Dans la rue, il y avait beaucoup de personnes qui etaient au chomage. Une femme qui desirait juste pour un oreiller.
Il y avait tout le bonheur.
Les jeunes maries achetaient assurance, et s’embrassaient.
Un chat dormait dans une fenetre, quand un oiseaux a passé.
Derriere chaque fenetre, une famille vivait dans leur propre monde.
Quelque chose sentait bon, mais je n’ai pas fait attention. J’ai continue a marcher.
Sur la plage, j’etais seul. Je suis toujours seul a la plage. J’ai ecoute la mer. J’ai regarde. J’ai regarde pour long temps.
Sudain, un pere et ses enfants sont apparus. Ils etaient tres jeunes. Ils ont ri et a joue dans la mer. Et puis, ils sont partis, comme le ciel est devenu noir.
Et puis, avec une sourire, j’ai pleure.
Ma vie avait passé. Le ciel devenait noir.
(ps: some of the accents aren't there, but not because I don't know that they should be)
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